« Un musicien reconnu et apprécié qui choisit le silence. Un homme dont le métier est de se « livrer » au public, en jouant Chopin ou Schubert, et qui décide de se retirer du monde…Telle est l’histoire singulière de Thierry de Brunhoff. Elle peut sembler paradoxale, difficile à saisir, mais, en réalité, ne recèle-t-elle pas une logique parfaite et essentielle pour celui qui est devenu Frère Thierry Jean à l’abbaye bénédictine d’En Calcat dans le Tarn ? Il y est entré en 1974 et ne l’a pas quittée depuis. » https://www.la-croix.com/Culture/Musique/Thierry-de-Brunhoff-la-musique-du-silence-2015-08-21-1346587https://encalcat.com/index.php
« Il m’a semblé que si Dieu existait, alors il fallait plonger et tout donner. Tout donner, c’était donner aussi la musique, puisque pour moi elle contenait tout depuis l’enfance. Elle était mon univers, ma respiration, mon langage, la communion avec les autres, le don de soi. Dieu m’apparaissait être plus que tout cela ou plutôt contenir tout cela, être tout cela à la fois et en même temps, attendre qu’on l’aime. Je crois que c’est cela qui a été déterminant pour moi, cette attente de Dieu. »Lettre à Rodolphe Bruneau-Boulmier – France Musique – 31 août 2014 – https://www.francemusique.fr/emissions/les-pianistes-paris/thierry-de-brunhoff-19877
Thierry de Brunhoff plays Chopin — Complete Nocturnes : https://youtu.be/jNqX_jWhUzY
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