2013.05.29 – Montpellier
Première parodie d’un « mariage » entre personnes de même sexe en France.
Tant va la plume au vent …
2013.05.29 – Montpellier
Première parodie d’un « mariage » entre personnes de même sexe en France.
« Ceux qui aiment marcher en rangs sur une musique : ce n’est peut-être que par erreur qu’ils ont reçu un cerveau, une moelle épinière leur suffirait amplement. »
Albert Einstein[1]
En Fhollandia, toujours !
Cette citation d’Albert Einstein m’est venue à l’esprit après que les parlementaires de la majorité, dans une unanimité digne des régimes de type soviétique, ont voté et approuvé la loi autorisant le mariage entre personnes de même sexe.
Et aussi :
Horloge révolutionnaire 1793-1795
Mon cher Charly,
Le temps a trop longtemps passé depuis mon dernier courrier et il est juste que je reprenne la main après les semaines que nous avons vécues.
Beaucoup d’événements se sont produits dont il est essentiel que nous tirions l’enseignement qui convient pour faire avancer nos affaires.
Le plus urgent est de ne pas prendre de retard pour mener à bien la mission que je t’ai confiée pour entraver l’action des « soldats » de l’ennemi qui a pris une nouvelle orientation avec l’élection de son nouveau représentant.
Ainsi il s’appelle François. Tout un programme ! Nous y reviendrons car il faudra prendre des mesures adaptées à cette nouvelle personnalité à laquelle est échue la responsabilité terrestre des affaires de l’ennemi.
Pour l’heure permets-moi de te rappeler à l’actualité en Fhollandia.
Elle est plurielle, pour emprunter à la sémantique des créatures stupides un adjectif qui leur plaît beaucoup et qui veut dire tout et le contraire de tout. Cet adjectif accolé à n’importe quel concept semblerait démontrer qu’on est « aware » ou, si tu veux, à la page. Ainsi ils s’imaginent qu’ils font preuve d’ouverture d’esprit … mais si tu regardes les résultats ce n’est pas brillant. Tu devras compter sur cette disposition bien commode pour semer la zizanie. Dont acte.
Voilà mon propos pour aujourd’hui : tu vas recevoir des directives pour différentes situations et tu devras élaborer ta stratégie pour remplir ta mission mais auparavant il m’apparaît nécessaire de parfaire ton éducation culturelle afin de mieux comprendre comment fonctionne le monde où tu vas faire ton stage pratique.
Avant d’entrer dans le détail concret de ta mission je souhaiterais t’entretenir d’une notion qui te sera très utile. Je veux parler de la « modernité ». Je mets des guillemets car c’est un concept ambigu, affligé de la prétention de recouvrir des situations très diverses, que seul le mot rassemble mais qui n’ont pas grand-chose à voir entre elles. La citation qui introduit ce courrier est à mon sens une heureuse synthèse de tout ce qu’apporte la modernité dans la pensée contemporaine.
L’important pour toi est de te convaincre que la modernité exerce une étonnante fascination sur les abjectes créatures, ce qui nous donne un grand avantage et beaucoup d’occasions de les entraîner sur notre terrain par la méthode dans laquelle nous excellons depuis longtemps : la tentation.
« L’homme moderne, dit Paul Valéry, est l’esclave de la modernité : il n’est point de progrès qui ne tourne pas à sa plus complète servitude. » Tu te rendras vite compte qu’ils ont un tel attrait pour la liberté qu’ils ne se rendent même pas compte que leurs chaînes s’appellent « liberté de pensée ». Ils en ont même fait des mouvements qui se revendiquent tous des principes puisés dans la mouvance libertaire. Retiens bien cette observation, elle est un des secrets de notre efficacité et tu devras toujours entretenir leur aspiration à être libre. Si tu veux mon avis, c’est peut-être l’erreur majeure de l’ennemi de leur avoir donné cette capacité.
Accorde-moi de te donner quelques instructions à propos de la modernité.
Au-delà d’un concept sociologique ou politique la modernité est une mode qui habille la civilisation et qui s’impose avec la prétention de s’opposer à ce qui avait cours avant, à savoir « la tradition ». Par tradition on comprend toutes les autres cultures antérieures dites traditionnelles. Ces cultures atomisées, selon une grande diversité géographique et humaine et avec tous les symbolismes qui s’y attachent, s’opposent à la modernité qui s’individualise par son unité, son homogénéité, et qui irradie, tel un nouveau soleil, dans toutes les directions du monde connu à partir de l’Occident.
La modernité s’inscrit sur un mode sujet à variations qui mêle le mythe et la réalité dans tous les domaines et engendre finalement une grande confusion. Mais son champ d’action est presque universel et englobe des secteurs aussi variés que la conduite d’un État moderne, les arts, la littérature, le théâtre et le cinéma, la peinture, la musique moderne, le mode de vie, les mœurs et les idées et finalement le quotidien.
Le poids de la modernité est imposant et, il faut bien l’avouer, il est presque impossible aujourd’hui de se faire entendre si on ne passe pas par les fourches caudines de cet impératif culturel incontournable : avant il y avait la tradition, désormais il faut compter avec la modernité.
Et pourtant elle reste une notion aux contours plutôt indéfinissables qui, in fine, emprunte beaucoup à la tradition que pourtant elle rejette comme dépassée. Elle s’arroge un pouvoir usurpé et prétend apporter sur toute chose du nouveau : un « système de valeurs » qu’elle invente et qui lui donnerait ses lettres de noblesse. Si je voulais la dénigrer je dirais qu’elle est une « idéologie », mais la perversion qu’elle introduit dans le jugement et le comportement des créatures te sera des plus utiles. Je t’invite à approfondir cette notion pour t’en imprégner afin de dégager une ligne de conduite pour remplir ta mission.
Le plus intéressant dans la modernité c’est sa capacité à remplacer opportunément les références du passé, qui ont été pendant trop longtemps l’apanage de l’ennemi et grâce auxquelles il a réussi à entraîner vers lui des générations. Il faut changer tout ça. Il faut en finir avec la tradition.
Tu trouveras tous les outils pour te débrouiller chez beaucoup d’intellectuels mais tu ne devras jamais oublier que ton premier objectif n’est pas de t’embourber dans la palabre intellectuelle, mais de te servir de leurs théories pour pervertir les autres. … Quant à ces « penseurs », ils sont bien partis pour entrer un jour dans le royaume de notre maître.
Ce qu’il faut surtout comprendre et qui sera le plus utile pour toi, c’est que, et là je cite un des maîtres à pensée[2] : «… L’œuvre de la raison elle-même, et donc surtout de la science, de la technologie et de l’éducation, et les politiques sociales de modernisation ne doivent pas avoir d’autre but que de dégager la route de la raison en supprimant les réglementations, les défenses corporatistes ou les barrières douanières, en créant la sécurité et la prévisibilité dont l’entrepreneur a besoin et en formant des gestionnaires et des opérateurs compétents et consciencieux. […] L’Occident a donc vécu et pensé la modernité comme une révolution. La raison ne connaît aucun acquis ; elle fait au contraire table rase des croyances et des formes d’organisation sociale et politique qui ne reposent pas sur une démonstration de type scientifique [3]».
Ce que tu dois comprendre c’est que la modernité est la clef de la sécularisation grâce à laquelle tu obtiendras de faire croire qu’un nouveau mode de penser est à même de remplacer Dieu par la « Société » comme principe du jugement moral.
Si tu regardes l’actualité du moment en Fhollandia tu verras que les choses sont vraiment bien parties pour jeter de son piédestal cette tradition honnie.
Pour terminer sur le sujet je conclurai en te disant que le flou qui entoure tout ce qui porte la marque de la modernité est bien pratique car il n’y a pas de lois de la modernité, il n’y a, comme dans la peinture[4], que des impressions de la modernité. Il n’y a pas de fondamentaux théoriques, mais une simple logique de la modernité. Une authentique idéologie s’est ainsi construite autour d’un noyau sans consistance qui repose sur un principe qui nous va très bien : une morale du changement ayant valeur de règle canonique et qui s’oppose à la morale canonique éculée de la tradition tout en sauvegardant les apparences et en évitant tout changement radical trop brutal. Avec les infectes créatures tu comprendras vite qu’il faut y aller en douceur… du moins au début.
Je te laisse réfléchir à ce programme et dans un prochain courrier je reviendrai avec des propositions pour des actions concrètes.
Ton oncle, Le sbire de Shaytân
2013.05.25
[1] Bertrand Russell, Why I Am Not A Christian, And Other Essays On Religion And Related Subjects Traduction : «Pourquoi je ne suis pas chrétien», Simon and Schuster; New York 1957.
[2] J’ai volontairement opté pour le substantif, plutôt que pour l’infinitif, parce que chez les créatures la pensée n’est rien d’autre qu’un support matériel qui ne fonctionne pas au mieux de ses capacités !
[3] Alain Touraine – Critique de la modernité – 1992
[4] « La modernité, c’est le transitoire, le fugitif, le contingent, la moitié de l’art, dont l’autre moitié est l’éternel et l’immuable. Il y a eu une modernité pour chaque peintre ancien. » Charles Baudelaire
Joseph Mallord William Turner – La Lorelei
La Lorelei ?
Monsieur l’éditorialiste « anonyme » du Monde[1], vous connaissez sûrement ce personnage de la mythologie germanique qui a inspiré tant d’artistes, des écrivains comme Heinrich Heine, des peintres comme William Turner. Cette nixe attirait par ses chants les navigateurs sur le Rhin, les conduisant à la perdition.
Vous avez écrit un éditorial que vous avez intitulé « Le mariage gay : l’adoption d’une réforme juste ». Et de dérouler un invraisemblable dithyrambe à la gloire du Président de Fhollandia[2] dont vous dites qu’il aura « changé son pays et laissé une trace. (…) Nul doute que la loi instaurant le mariage et le droit à l’adoption pour les couples homosexuels figurera en bonne place, à l’heure de ce bilan ».
… Quant à moi c’est à ce mythe de la Lorelei que je pense quand je regarde le bilan de la première année de son mandat : il est aux commandes et il écoute les myriades de nixes qui l’entourent dans son gouvernement et au-delà dans les lobbies de toute nature et contre nature. La suite, c’est Heinrich Heine qui nous la décrit :
“ … Den Schiffer im kleinen Schiffe
Ergreift es mit wildem Weh;
Er schaut nicht die Felsenriffe,
Er schaut nur in die Höh.
Ich glaube, die Wellen verschlingen
Am Ende Schiffer und Kahn;
Und das hat mit ihrem Singen
die Lorelei getan. ”
La Lorelei – Heinrich Heine – 1823
« … Le batelier dans sa petite barque
Est saisi d’une folle douleur,
Il ne voit plus les récifs,
Il regarde toujours en l’air.
Je crois que les vagues ont finalement
Englouti le batelier et sa barque
Et c’est la Lorelei, avec son chant fatal,
Qui aura fait tout ce mal. »
Avec cette loi inique[3] imposée par la force brutale, digne des dictatures les plus inhumaines, l’éditorialiste anonyme pense que s’est rallumé le « phare de la civilisation ».
Mais il s’effondrera comme celui d’Alexandrie.
Il pense que cette même loi a redressé un mur qui séparera définitivement, selon les Lumières dont il s’inspire, l’héritage désuet et passéiste d’une « tradition » honnie, du progressisme de la modernité.
Mais ce mur s’écroulera comme tous les murs qui ont prétendu abolir les civilisations authentiques, … après combien de désastres humains !
Sachez-le bien, monsieur l’éditorialiste anonyme, vous avez d’ores et déjà perdu !
Cette loi a réveillé beaucoup de consciences assoupies ou endormies, parfois un temps anesthésiées par les mirages de l’hédonisme libertaire.
Si vous saviez lire l’histoire, vous sauriez que c’est dans l’épreuve et dans l’adversité que les civilisations, si leurs fondements sont moralement justes, renaissent des cendres de l’incendie que les barbares, dont vous êtes les héritiers, allument sans jamais anéantir ces civilisations ni les valeurs qui les portent.
Les persécutions sanglantes des premiers siècles du christianisme, comme celles d’aujourd’hui, sournoises et idéologiques, font naître ou renaître des générations de chrétiens et de personnes qui partagent avec eux les mêmes idéaux de vraie justice, de vraie liberté et de vraie fraternité. On ne viole pas impunément les fondamentaux de la civilisation.
[1] http://www.lemonde.fr/a-la-une/article/2013/05/18/mariage-gay-l-adoption-d-une-reforme-juste_3318522_3208.html
[2] Voir La lettre de mission – Article 2013.02.28
« Suffisamment de références ont transcrit cette citation exactement dans les mêmes termes et à la virgule près, pour que, sans avoir lu le livre, je sois conduit (difficilement je l’avoue !) à en croire mes yeux.
Je me suis pincé très fort mais j’ai dû me rendre à l’évidence, je ne rêvais pas ! »
« La révolution française est l’irruption dans le temps de quelque chose qui n’appartient pas au temps, c’est un commencement absolu, c’est la présence et l’incarnation d’un sens, d’une régénération et d’une expiation du peuple français. 1789, l’année sans pareille, est celle de l’engendrement par un brusque saut de l’histoire d’un homme nouveau. La révolution est un événement méta-historique, c’est-à-dire un événement religieux. La révolution implique l’oubli total de ce qui précède la révolution. Et donc l’école a un rôle fondamental, puisque l’école doit dépouiller l’enfant de toutes ses attaches pré-républicaines pour l’élever jusqu’à devenir citoyen. Et c’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle église avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi. »
V. Peillon « La Révolution française n’est pas terminée » (Seuil, 2008)
… On se demande s’il ne faut pas dire « Amen » ! … Sans autre commentaire !
On nous promet un avenir uniforme… sans forme, informe !
Un avenir « uniwear » !
Qu’Antoine de Saint-Exupéry me pardonne d’avoir osé massacrer un chapitre de ce merveilleux livre qui a enchanté mon enfance comme il continue, je pense, d’enchanter celui des enfants d’aujourd’hui. Ces enfants auxquels on veut faire croire qu’ils ne sont qu’indifférenciation (quelle poésie !!) jusqu’à ce qu’ils décident par eux-mêmes ce qu’ils voudraient être … à défaut d’être ce qu’ils seraient devenus si on avait simplement laissé la nature continuer à être ce qu’elle est depuis les origines du monde !
On comprendra à la lecture ce que cette énigmatique introduction veut dire.
Le petit prince
(Version revue et corrigée !)
Chapitre II
J’ai ainsi vécu seule, sans personne avec qui parler véritablement, jusqu’à un panne dans la désert du Sahara, il y a six ans. Quelque chose s’était cassé dans ma moteur. Et comme je n’avais avec moi ni mécanicien, ni passagers, je me préparai à essayer de réussir, toute seule, un réparation difficile. C’était pour moi un question de vie ou de mort. J’avais à peine de l’eau à boire pour huit jours.
La première soir je me suis donc endormie sur la sable à mille milles de tout terre habité. J’étais bien plus isolée qu’une naufragée sur une radeau au milieu de l’océan. Alors vous imaginez mon surprise, au lever de la jour, quand un drôle de petit voix m’a réveillée. Il disait:
– S’il vous plaît… dessine-moi une mouton !
– Hein!
– Dessine-moi une mouton…
J’ai sauté sur mes pieds comme si j’avais été frappée par le foudre. J’ai bien frotté mes yeux. J’ai bien regardé. Et j’ai vu une petite bonhomme tout à fait extraordinaire qui me considérait gravement. Voilà la meilleure portrait que, plus tard, j’ai réussi à faire d’elle. Mais ma dessin, bien sûr, est beaucoup moins ravissante que la modèle. Ce n’est pas mon faute. J’avais été découragée dans mon carrière de peintre par les grands personnes, à l’âge de six ans, et je n’avais rien appris à dessiner, sauf les boas fermées et les boas ouvertes.
Je regardai donc cette apparition avec des yeux toutes rondes d’étonnement. N’oubliez pas que je me trouvais à mille milles de tout région habité. Or ma petite bonhomme ne me semblait ni égarée, ni morte de fatigue, ni morte de faim, ni morte de soif, ni morte de peur. Elle n’avait en rien l’apparence d’un enfant perdu au milieu de la désert, à mille milles de tout région habité. Quand je réussis enfin à parler, je lui dis:
– Mais… qu’est-ce que tu fais là ?
Et elle me répéta alors, tout doucement, comme un chose très sérieux:
– S’il vous plaît… dessine-moi une mouton…
Quand la mystère est trop impressionnante, on n’ose pas désobéir. Aussi absurde que cela me semblât à mille milles de toutes les endroits habitées et en danger de mort, je sortis de mon poche un feuille de papier et une stylographe. Mais je me rappelai alors que j’avais surtout étudié le géographie, l’histoire, la calcul et le grammaire et je dis à la petite bonhomme (avec un peu de mauvais humeur) que je ne savais pas dessiner. Elle me répondit:
– Ça ne fait rien. Dessine-moi une mouton.
Comme je n’avais jamais dessiné une mouton je refis, pour lui, l’une des deux seules dessins dont j’étais capable. Celui de la boa fermée. Et je fus stupéfaite d’entendre la petite bonhomme me répondre:
– Non! Non! Je ne veux pas d’une éléphant dans une boa. Une boa c’est très dangereux, et une éléphant c’est très encombrante. Chez moi c’est tout petit. J’ai besoin d’une mouton. Dessine-moi une mouton.
Alors j’ai dessiné.
Elle regarda attentivement, puis:
– Non! Celle-là est déjà très malade. Fais-en une autre.
Je dessinai:
Mon amie sourit gentiment, avec indulgence:
– Tu vois bien… ce n’est pas une mouton, c’est une bélier. Elle a des cornes…
Je refis donc encore ma dessin:
Mais elle fut refusée, comme les précédentes:
– Celle-là est trop vieille. Je veux une mouton qui vive longtemps.
Alors, faute de patience, comme j’avais hâte de commencer la démontage de ma moteur, je griffonnai ce dessin-ci.
Et je lançai:
– Ça c’est le caisse. La mouton que tu veux est dedans.
Mais je fus bien surpris de voir s’illuminer la visage de ma jeune juge:
– C’est tout à fait comme ça que je la voulais ! Crois-tu qu’il faille beaucoup d’herbe à cette mouton ?
– Pourquoi ?
– Parce que chez moi c’est tout petit…
– Ça suffira sûrement. Je t’ai donné une toute petite mouton.
Elle pencha la tête vers la dessin:
– Pas si petite que ça… Tiens ! Elle s’est endormie…
Et c’est ainsi que je fis le connaissance de la petite prince.
3 mai 2013
A la Maison Saint Marthe où tous les jours le Pape célèbre la Messe pour les employés du Vatican, l’ambiance fut ce jour-là teintée de vives couleurs grâce à la présence des gardes suisses.
« Quand l’Eglise perd le courage, elle entre dans un climat de tiédeur. Les tièdes, les chrétiens tièdes, sans courage … causent un grand dommage à l’Eglise. Parce que la tiédeur t’enferme en toi-même, et alors commencent les problèmes entre nous, l’horizon est bouché. Et manque le courage, le courage de la prière adressée au Ciel et le courage pour annoncer l’Evangile[1] »
Le Pape François[2]
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